Face à l'émergence et à l'omniprésence de l'IA, nombre d'acteurs du secteur de la création de contenu, pourraient être séduits par les sirènes de la facilité et de l'écriture automatique. Pourtant, je ne suis pas sûre que la machine puisse un jour remplacer l'homme car les langues qu'elles soient européennes, asiatiques, orientales ou autres, renferment des nuances que seul un humain peut comprendre et appréhender, avant de le rendre de la manière la plus naturelle et la plus compréhensible dans sa langue maternelle.
Évidemment, certaines agences avec lesquelles je collabore me proposent des projets de post-édition de contenus générés par un "moteur de traduction", un logiciel qui repose sur l'exploitation de nombreux glossaires et mémoires de traduction pour pré-digérer un texte et rendre un résultat "lisible" mais pas forcément compréhensible.
Ce processus représente un énorme gain de temps pour les acteurs du marché et j'accepte volontiers ce genre de relecture très poussée, en fonction de la qualité du résultat obtenu, après passage à la moulinette du logiciel de post-édition.
Mais pour mes clients directs, je me refuse à tout compromis. Je ne laisserai pas la machine faire mon travail à ma place pour des raisons de profitabilité ou pour gagner du temps. Que mes clients se rassurent, quelle que soit la combinaison de langues ou le domaine de spécialité, vous bénéficierez toujours de la "human touch" en faisant appel à moi.